En guise d'introduction, je souhaite vous expliquer pourquoi je me décide à poser sur le papier les mots de mon histoire. J'ai chaud ... j'ai toujours chaud, quoiqu'il se passe dans ma vie, je ne pense qu'au sexe. J'en ai envie le matin au réveil, le soir en m'endormant et même à ce moment là mes rêves remplissent ma tête de sexe. En soi, vous me direz rien de grave, mais je me suis pris l'envie de raconter ma vie, mon oeuvre. La découverte de ce site fut une révélation, chaque semaine attendant patiemment de nouveaux récits qui nourrissent mes délires sexuels. Et aujourd'hui, j'ai envie d'y contribuer en vous proposant mes récits, avec l'espoir de vous faire monter la rage au ventre, l'envie irrésistible de vous amuser avec votre membre virile, en pensant à ce que vous pourriez me faire pour exploser dans un superbe jet délectable.
Maintenant place à la première des aventures, que je souhaite vous conter même si elle ne suit pas de chronologie, n'étant ni la première ni la dernière. Rien que d'y penser, un frisson de plaisir me parcourt l'échine, mais il me faut commencer par poser la scène. Je vis dans un petit appartement en banlieue parisienne, pas particulièrement mal famée, pas non plus bourgeoise. Le seul problème de mon logement réside dans un vis-à-vis très proche, ce qui ne me dérange absolument par, puisque je dois avouer des penchants pour l'exhibition et le voyeurisme. Il est tard, je m'ennuie et j'en ai envie. Pour ma description, je vous dirais uniquement que mon 1m80 laisse la part belle à un corps mince de 63 kg, des cheveux noires, des yeux bleu et des lèvres rouges, tranchant sur un teint blanc.
Connecté grâce à mon nouveau Iphone sur une application que je n'aurai pas besoin de citer, je reçois un message d'un mec typé géolocalisé prêt de chez moi. Je n'ai pas d'aprioris sur les physiques, pouvant être attiré par des mecs plus différents les uns que les autres, mais rien qu'à le regarder, il arrive à me faire monter. Ni une ni deux, je le fais débarquer à la maison : presque 2 mètres de hauts pour je ne sais combien de kilos, il ressemble à une montagne à glace. Viril et puissant, il porte un look de caillera classique avec son survêt, ses basquets et une casquette à peine déposer sur le haut de son crâne rasé de près. Comme j'aime bien faire monter la pression, je lui propose de s'installer sur mon canapé et de boire un verre, ce qu'il accepte avec plaisir. A peine ai-je posé son verre, qu'il approche ses lèvres vers les miennes et m'enfoncent sa langue dans la gorge. Surpris je pousse un petit cri car sa bouche énorme me fait chavirer de plaisir ; à ce moment là, je sais qu'il pourra faire de moi sa pute attitrée.
Pendant qu'il m'enlacer de ses bras musclés, je joue à faire mouvoir mon corps contre le sien à l'instar d'une couleuvre cherchant à fuir pour sentir sa prise se resserrer. J'en profite pour savoir ce qu'il cache dans son pantalon, et je ne peux pas dire que je sois déçu. Lorsqu'il a fini de jouer avec ma bouche, il s'installer sur le canapé avec les jambes bien écartées, pour me faire comprendre qu'il n'attend qu'une chose. Je me précipite vers l'élastique de son survêtement, pour découvrir un caleçon rempli par la pression d'un barreau que la largeur du sous-vêtement ne suffit plus à contenir. A peine extrait de sa prison, son sexe pointe fièrement vers mon visage. Je le choppe d'une main, pose délicatement mes lèvres sur son gland et commence à le suçoter, pour recueillir la mouille qu'il produit abondamment. Souhaitant me voir l'engloutir, le mec prend ma tête entre ses mains et me force à supporter sa hampe dans le fond de ma gorge. Son excitation est telle qu'il pousse des râles sauvages, entrecoupé par ses insultes qui me rendent fou de désir.
Après une bonne dizaine de minutes à m'occuper de sa queue, il se débarrasse de son tee-shirt pour laisser à nu un torse puissamment musclé. Il me retourne sur le canapé d'un geste brut et rapide, n'hésitant pas à arracher mon boxer, dernier vêtement qu'il me restait sur la peau. Sans même me laisser le temps de respirer, il me fait pencher d'une main afin de laisse s'entrouvrir mes deux petites fesses, dont ses deux mains recouvrent presque l'intégralité de la surface. Il se jette alors sur ma rondelle, pour y plonger sa langue dans le tréfonds de mon corps. Je vibre littéralement de tout mon être, grâce à sa bouche mouvante qui me donne la sensation d'être une vulgaire chose soumise à sa force. Ayant mouillé mon trou plus que de raison, il se décide d'y rentrer l'un de ses doigts pour me préparer à le recevoir. Il me travaille, en m'expliquant qu'il n'a jamais vu un cul qui lui donnait aussi envie de défoncer un mec. Il n'y a rien à dire, le mec gère de A à Z pendant que j'ai la sensation de tomber dans un gouffre sans fin.
N'en pouvant plus, je le supplie de me la mettre, et pour l'inciter à me pénétrer, je prends sa queue entre mes fesses pour la faire glisser le long de ma raie. Je me bouge comme sur une barre de lap dance et je sens que l'effet escompté se produit. Il me choppe par le cou, me met à quatre patte sur le sol, se jette sur mon corps et m'enfonce son membre dans le cul après avoir posé une capote dessus. Au moment où il consent à me pénétrer, je me cambre comme jamais en poussant un gémissement de ravissement ... et là, je me rends compte que je n'ai pas fermé les rideaux. Mon niqueur le remarque aussi, car il me fait la réflexion que le quartier saura désormais que je suis une bonne petite salope. Et en effet, il n'a pas tord. A la fenêtre d'en face, mon voisin nous regarde fixement, je ne l'avais jamais vu auparavant car ses rideaux sont toujours tirés, mais je suis incapable de voir les traits de son visage, la nuit étant trop sombre pour les reconnaitre.
Mon baiseur me susurre à l'oreille qu'il avait vu le mec nous mater depuis le début de nos ébats, mais qu'il n'avait rien dit pour ne pas que je m'effarouche. J'en suis complètement retourné, je n'arrive à penser à rien, sentant uniquement les coups de butoir de cette bite qui me déchire et fixant mon regard sur ce mec, qui prend sa queue entre les mains pour se branler au rythme de ma baise. Afin de me rendre encore plus chienne, mon rebeu me prend dans toutes les positions, les plus vicieuses pour montrer à mon voisin combien je suis soumis à sa queue. Un moment, il me fait pencher dos à la fenêtre, afin de montrer mon trou au branleur, en tapant avec son sexe sur mes fesses. Dans une dernière étreinte, il me dit qu'il veut me voir jouir pendant qu'il me défonce avec vigueur. Il me fait asseoir sur le canapé, me renverse les jambes sur le torse et me prend avec ses dernières énergies. La pièce pue la sueur de nos deux corps mêlés, nos deux corps glissent à chaque coup de ses reins, me faisant sentir ses couilles me battre le cul.
Sur le point de jouir, je regarde mon voisin dans les yeux et le vois gicler cinq jets puissants de sperme, qui coulent le long de sa fenêtre. Il expose sa queue, en la faisant sur la surface vitrée, se couvrant le corps de son propre fluide. Mais je ne peux en voir davantage, car mon baiseur me balance un claque sur la gueule, me choppe par le bas du visage et me dis qu'il n'y a que lui que je dois regarder dans les yeux. A ce moment, mes forces m'abandonnent et sans même m'être excité en me branlant, je gicle sur mon corps moite. Le mec en profite pour se donner à fond, avant de sortir sa queue de mon trou, pour me l'engouffrer entre les deux lèvres. Seulement deux vas et vient suffisent pour qu'il retire sa capote et me balance sa sauce sur le visage en trois jets gras, qui coulent le long de ma joue. Alors il s'effondre sur mon corps, m'empêchant presque de respirer tellement ses muscles m'étouffent. Il approche sa bouche de mon oreille, m'expliquant que maintenant je ne suis qu'à lui et j'ai tout intérêt à fermer ma gueule et à filer droit. Qui sait, si je suis sage, il permettra peut-être à mon voisin de s'amuser avec mon cul.
Mais je commence déjà une autre histoire, j'ai écris ce texte d'un trait et j'ai le bassin qui me démange. Je préfère vous quitter maintenant afin de me soulager le corps, avec le seul espoir d'avoir vos commentaires.
Petite gueule